Aujourd’hui, je veux particulièrement m’adresser à une jeune femme aspirant au mariage. Assume toi !
Franchement, ma sœur, assume toi.
N’attends pas le mariage comme la résolution de tous tes problèmes. N’attends pas l’arrivée d’un homme pour vivre et être heureuse.
Je vois tellement de jeunes femmes qui mettent leurs rêves entre parenthèses. Elles sont prêtes à tout pour un mari. Dès que le premier toto se présente, elles jettent leur vie par-dessus l’épaule pour » entrer » dans le mariage.
On a beau répéter les mauvaises raisons pour se marier, ça n’empêche pas les filles de foncer la tête la première dans des relations sans tête ni queue.
On perd tout bon sens.
Sinon comment expliquer qu’une jeune femme va vivre avec un homme qui ne lui offre aucune garantie, ne lui montre aucun respect, n’honore pas ses parents.
Non contente d’offrir un service premium intégral au monsieur (cuisine, ménage, lessive, maternité). Elle se vautre dans l’inactivité prétextant être femme au foyer.
Elle va dépendre de cet homme pour tout: manger, s’habiller, se soigner, TOUT.
Il va décider quand elle sort et avec qui, si elle va à l’église et quand. Et le jour où il se lasse, il la jette dehors avec les enfants, la laissant sans aide et sans recours.
Ma sœur, mon amie rien ne vaut le prix de ta dignité. Qu’aucune situation ne te pousse à te brader, à te livrer. Peu importe le niveau de ton manque, confie-toi en Dieu plutôt qu’à un homme qui va te faire miroiter le bonheur en prétextant t’aimer alors qu’il ne désire que t’exploiter.
S’il t’aime vraiment, il voit tes parents. Puis il t’emmène devant le maire pour te donner une sécurité sociale. Enfin, il honore le Dieu que tu crains.
C’est pourquoi je vous dis: Ne vous inquiétez pas pour votre vie de ce que vous mangerez, ni pour votre corps, de quoi vous serez vêtus. La vie n’est-elle pas plus que la nourriture, et le corps plus que le vêtement?
Si Dieu revêt ainsi l’herbe des champs, qui existe aujourd’hui et qui demain sera jetée au four, ne vous vêtira-t-il pas à plus forte raison, gens de peu de foi?
Matthieu 6 :25,30