Vincent Van Gogh a commencé à peindre à l’âge de 27 ans. Fils d’un pasteur protestant, il a toujours été partagé entre la foi et le monde, vivant une existence tumultueuse dès son plus jeune âge.
Vincent est né exactement un an jour pour jour après son frère mort né qui porta le même prénom.
Vincent a été pasteur et évangéliste les premières années de sa vie adulte avant de s’intéresser à la peinture. Sous l’influence de son frère et de plusieurs amis peintres, son style évolue jusqu’aux toiles qu’on lui connaît aujourd’hui.
On le savait émotionnellement instable (dépression , démence) au point de se couper une oreille après une dispute avec un ami et d’essayer de l’offrir à sa maîtresse. Il a connu un séjour dans une institution psychiatrique qui n’a pas forcément eu un impact positif sur sa santé mentale.

En huit ans, il a peint 900 tableaux et presque un millier de dessins. Mais de son vivant, il n’ en a vendu qu’un: la vigne rouge.
Van Gogh s’est suicidé dix ans plus tard en se tirant une balle dans la poitrine.

J’ai été à la fois émue et choquée par la vie de cet illustre artiste. Victime de blessures émotionnelles de sa naissance à sa mort, sans personne pour l’orienter vers la guérison intérieure.
Il a été en contact avec la religion sans connaître Dieu. Il a manifesté la compassion et l’amour aux autres sans jamais en recevoir.
Les paroles négatives et le rejet de ses parents en ont fait un être meurtri à jamais, au point où même son art n’a pris de la valeur qu’à sa mort.

Par quoi passez-vous aujourd’hui ? Quelle enfance avez-vous eu? Quel impact a-t-elle eu sur vous ?

Vous lisez ces lignes aujourd’hui pour vous éviter d’être un Van Gogh. Vous pouvez être heureux de votre vivant, vous pouvez réussir de votre vivant. Les blessures de votre enfance ne sont pas obligées d’influencer votre présent et d’hypothéquer votre avenir.
Les erreurs de jugements de vos parents vous ont affectés mais ne doivent pas déterminer la personne que vous êtes aujourd’hui.

Faites appel à Jésus-Christ dans le secret de votre cœur. Il est le seul qui peut vous comprendre et vous conduire vers la guérison. Il ne vous juge pas, au contraire.

Aie pitié de moi, Éternel! car je suis sans force; Guéris-moi, Éternel! car mes os sont tremblants.

Mon âme est toute troublée; Et toi, Éternel! jusques à quand?…

Reviens, Éternel! délivre mon âme; Sauve-moi, à cause de ta miséricorde.

Car celui qui meurt n’a plus ton souvenir; Qui te louera dans le séjour des morts?

Je m’épuise à force de gémir; Chaque nuit ma couche est baignée de mes larmes, Mon lit est arrosé de mes pleurs.

Psaumes 6